Coopérer au dynamisme,
A propos des rendez-vous au Mas du Bon Lieu, pour répondre aux questions qui nous sont posées.
C’est avec le désir de coopérer vraiment au Dynamisme du Grandir Ensemble que, depuis un an un petit groupe d’amis, s’est retrouvé très souvent pour mettre en forme ce projet.
Cela s’est concrétisé par l’achat d’un mas au nom prédestiné : le Bon Lieu, en Drôme Provençale,
Je trouve cette initiative courageuse et sympathique, je remercie tous ceux qui tentent l’aventure chaleureusement.
Mireille
Coopérer au dynamisme,
Convertir c’est transformer,
c’est aussi et en même temps,
rendre plus que ce qu’on a reçu,
cela doit devenir l’expression dans le quotidien du vécu de l’obligation de conscience.
« Honorer ce que nous avons reçu en le transformant constamment par des actes de plus en plus plus conscients, de plus en plus générateurs eux-mêmes de Charité.
La vraie charité est là : cette qualité du coeur qui fait que nous participons constamment au grandir en étant un lieu de transformation ; ce qui nous vient repart grandi par cette qualité que nous avons déployée en nous, cette exigence, cette impeccabilité. Et cela dans le secret, dans l’anonymat.
C’est ce Monsieur Gurdjeff appelait «le maintien, le soutient réciproque ».
Vous voyez tout le chemin qu’il peut y avoir entre notre vécu ordinaire basé sur la réaction - quand quelque chose nous arriver nous réagissons selon que cela nous plaît ou non- et l’acte de convertir.
Ce qui nous arrive est toujours accueilli, on en fait une occasion de tracas, une occasion de conscience, une occasion de transformerait, une occasion d’aimer.
De la réaction à la conversion, c’est un chemin de conscience et d’amour. Ce qui nous arrive est une occasion de conscience, une occasion de transformation, une occasion d’aimer.
Le travail de l’obligation de conscience sera de constamment grandir.
Être structure conductrice , c’est constamment déployer en nous et dans nos relations les structures par lesquelles cela grandit, cela se déploie, cela est vivant.
Dans notre démarche, sur le plan de notre compréhension personnelle, avant que cela devienne un travail plus conscient d’ensemble, il faut comprendre cette loi-là.
Dans un autre entretien, Yvan dira :
« Je te parle de la vraie loi du prendre-donner, celle dans laquelle on rentre par notre travail.
Tu ne peux prendre, dans le contexte de notre tramail, que quand tu ne prends pas pour toi. Tu rentres vraiment dans la loi d’action de la vie, tu peux transformer ce que tu ne prends pas pour toi, et donc le transmettre ; quand tu transmets , tu ne fais qu’accomplir la loi de la vie.
On est serviteur de son propre intérêt et esclave de l’autre,
Ou servir de son intention et serviteur de l’Un, de l’Amour. »