Le corps
Ce qui est merveilleux, c’est que tu ne refuses pas ce qui vient.
C’est cela le corps contagieux, la propriété d’Ouvrir.
Le devoir est dans le corps, qui laisse entrer le monde.
faire entrer dans sa tête, ce n’est pas dur
faire entrer dans son corps, est beaucoup plus difficile,
La loi du monde ? C’est le corps en relation, ouvert, éveillé qui ne résiste pas.
Un corps, c’est comme une maison,
- viens, entre, repose-toi, nourris-toi, puis reparts.
L’accueil grandit quand, de la maison il passe au monde.
S’Il n’est pas partout,
Il n’est pas.
Il n’est pas.
Autre texte :
C’est le corps qui médite,
Assis, c’est le corps qui médite, pas le mental.
Assis, c’est le corps qui médite, pas le mental.
Tu ne luttes pas contre l’échec, tu luttes pour la réussite.
Ce que tu vas trouver, c’est un Rythme de vie, dans la vie, une régularité, une mesure.
Quand le corps a trouvé un espace, tout va s’accorder, tout va ensemble se réorganiser, la pensée, l’émotion, le corps.
Tu t’accordes le temps, le temps est le bien le plus précieux que nous ayons.
Tu t’accordes le temps, le temps est le bien le plus précieux que nous ayons.
On marche, assis ou debout,
Au rythme de la vie, avec régularité, mesure, en paix, parfois en danse.
Au rythme de la vie, avec régularité, mesure, en paix, parfois en danse.
Nous pouvons équilibrer une vie de Recherche, de sadhana, entre la conscience se reconnaissant dans le repos ou dans le mouvement.
Amener le repos dans le « corps mental » et s’y reconnaître,
Amener l’action, le mouvement dans le « corps mental » et s’y reconnaître,
Que ni le mouvement, ni le repos ne soit des lieux de fascination pour la conscience mais des lieux de reconnaissance, de révélation.
La reconnaissance dans le repos est paix
La reconnaissance dans le mouvement est joie.
Amener le repos dans le « corps mental » et s’y reconnaître,
Amener l’action, le mouvement dans le « corps mental » et s’y reconnaître,
Que ni le mouvement, ni le repos ne soit des lieux de fascination pour la conscience mais des lieux de reconnaissance, de révélation.
La reconnaissance dans le repos est paix
La reconnaissance dans le mouvement est joie.
Ces lignes sont extraites d’un écrit d’Yvan, le 27 octobre 1991, c’est la fin d’un long texte.
Ce qui arrive est porteur de transformation.
Se protéger, gémir, se contrôler, ne sert à rien.
Les rires et les larmes mêlées, regarder en face et avec compassions sa propre blessure, mettre tout son coeur à désenchevêtrer ce qui en a besoin.