Reconnaissance, suite
Ce qui fonde cet enseignement est simple :
Dans la voie du monde, celle où la vie se reconnait dans l’action, prendre le risque de l’autre est une nécessité ; d’où l’insistance non sur la friction intérieure de ses états mais sur la friction constante à l’autre comme occasion constante de reconnaître :
* soit les mécanismes de la victime,
* soit le dynamisme du Réel - relations au delà des sentiments, vécus de la non-séparation,
Là est le vécu du disciple.
Je ne peux pas me reconnaître seul : " Le mystère de l’Un c’est d’abord le mystère du deux ! "
Dans la voie du monde, celle où la vie se reconnait dans l’action, prendre le risque de l’autre est une nécessité ; d’où l’insistance non sur la friction intérieure de ses états mais sur la friction constante à l’autre comme occasion constante de reconnaître :
* soit les mécanismes de la victime,
* soit le dynamisme du Réel - relations au delà des sentiments, vécus de la non-séparation,
Là est le vécu du disciple.
Je ne peux pas me reconnaître seul : " Le mystère de l’Un c’est d’abord le mystère du deux ! "
Dans l’enseignement, il est d’abord question de reconnaître comment nous fonctionnons, et cela demande un certain temps…
" Il n’y a d’affirmation du vrai que si vous avez dénoncé certains mécanismes du faux alors une autre qualité d’écoute, un espace apparaissent, le sentiment de parenté grandit, furtivement ".
Cette reconnaissance intime, immédiate, nous surprend, nous ne la nommons pas, elle se vit en nous.
Nous lisons et nous avons le sentiment que ce que nous lisons c’est nous qui l’écrivons ; quand nous entendons, nous avons le sentiment que c’est nous qui le disons.
Nous ne savons plus si nous énonçons le mantra ou si nous l’écoutons.
Dans l’expérience de la sensation, le corps est vivant, la non-séparation est.
" Il n’y a d’affirmation du vrai que si vous avez dénoncé certains mécanismes du faux alors une autre qualité d’écoute, un espace apparaissent, le sentiment de parenté grandit, furtivement ".
Cette reconnaissance intime, immédiate, nous surprend, nous ne la nommons pas, elle se vit en nous.
Nous lisons et nous avons le sentiment que ce que nous lisons c’est nous qui l’écrivons ; quand nous entendons, nous avons le sentiment que c’est nous qui le disons.
Nous ne savons plus si nous énonçons le mantra ou si nous l’écoutons.
Dans l’expérience de la sensation, le corps est vivant, la non-séparation est.
"Dans un moment de reconnaissance il n’y a pas d’autre, vous êtes vous-même cette reconnaissance sans objet.
C’est le vrai début de votre travail, c’est ce qui va donner sens à votre vie.
Ce moment-là peut réorganiser votre vie complètement."
C’est le vrai début de votre travail, c’est ce qui va donner sens à votre vie.
Ce moment-là peut réorganiser votre vie complètement."
Quand il y a reconnaissance, nous sommes l’acte même par lequel Cela est reconnu.
Cela ne nous appartient pas.
L’acte de reconnaissance n’est pas un acte pour reconnaître un objet, on se reconnaît soi dans cet acte, c’est la reconnaissance intime, immédiate, de la non-séparation.
Cela ne nous appartient pas.
L’acte de reconnaissance n’est pas un acte pour reconnaître un objet, on se reconnaît soi dans cet acte, c’est la reconnaissance intime, immédiate, de la non-séparation.
" L'expérience de la reconnaissance vécue, ressentie, rend confiant, fait connaître la confiance. Ce qui est vécu comme risque sera vécu comme confiance. La vie t’aime, tu sens la vie en toi."
Le oui s’impose, il n’y a plus que OUI, nous sommes ce oui.
Ce Oui qui grandit en nous, c’est le oui d’une parenté découverte, reconnue puis c’est l’appartenance à la vie qui devient évidente.
C’est simple, ce ne peut être expliqué, juste reconnu dans le cœur.
Le oui s’impose, il n’y a plus que OUI, nous sommes ce oui.
Ce Oui qui grandit en nous, c’est le oui d’une parenté découverte, reconnue puis c’est l’appartenance à la vie qui devient évidente.
C’est simple, ce ne peut être expliqué, juste reconnu dans le cœur.
"Au fur et à mesure que ce sentiment de reconnaissance grandit en nous, on remercie les ancêtres, on remercie la vie au travers de ses lignées d’ancêtres qui ont permis que ce corps soit.
Ne pas seulement dire merci mais se montrer digne de cet honneur qui nous échoit."
Yvan Amar
Ne pas seulement dire merci mais se montrer digne de cet honneur qui nous échoit."
Yvan Amar